It was an immense pleasure to accept Valérie Barkowski’s invitation to work together in an intense and emblematic location like Dar Kawa.
For the installation I made, I used papers (newspapers, books) gleaned from the bazaars of Marrakesh and sampled from Valérie’s tye&dye collection, with her blessing!
To make the armature for the shapes, I borrowed housewares: here, a big salad bowl; there, a broad wooden dish…
Next, I bound the shapes together and suspended them. I had two goals: to work on the verticality of the space and the patio, and to suggest the parasol sunhats Valérie is so fond of.
Travailler à l’invitation de Valérie Barkowski dans un lieu aussi fort et emblématique que Dar Kawa a été un immense plaisir.
J’ai réalisé l’installation avec des papiers (journaux, livres) glanés dans les souks de Marrakech et prélevés dans la collection tye&dye de Valérie, avec sa bénédiction !
Les formes ont été montées sur des moules empruntés à la maison : ici un grand saladier, là un grand plat en bois …
J’ai ensuite lié et suspendu ces formes, à la fois pour travailler la verticalité du lieu et du patio, et aussi pour évoquer les chapeaux parasols que Valérie affectionne tant.
The dot patterns are a wink at Valérie’s universe (remember the Mia Zia and Bandit Queen polka dots!). The black and white echoes the interplay of shadow and light.
The only colors came from the intricate web of day-glow threads (green for the patio foliage and orange for the fruits), reminiscent of the tangle of electrical wires on the street.
Les motifs à pois également comme clin d’oeil à son univers (ah les pois de Mia zia et de Bandit Queen !) et le noir et blanc pour répondre aux jeux de l’ombre et de la lumière.
Les seules couleurs étaient données par les intrications de fils fluos (vert pour les feuillages dans le patio et orange pour les fruits) qui rappelaient les emmêlements de fils électriques de la rue.
The assemblage was so fleeting, it was swept away in the first summer storm. But the few photographic traces remaining still arouse my memories of these marvelous days.
Assemblage éphémère qui a d’ailleurs été balayé par le premier orage de l’été, mais dont les quelques traces photographiques continuent à faire vivre en moi ces jours merveilleux.