The first steps of a brand… groping ? on tip toe? For Bandit Queen, they were assured, serein, already completed, feminine in any case. They got concretised after 10 days of photo shooting. Creating a brand, is to imagine upstream, assemble, meet. For this high-end collection of house linen, everything was planned to match the initial philosophy, the one which is found in the words “Timelessness, Curiosity, Elegance”.
Bandit Queen devant l’objectif
Les premiers pas d’une marque… à tâtons ? sur la pointe des pieds ? Pour Bandit Queen, ils étaient assurés, sereins, aboutis déjà, féminins en tout cas. Ils se sont concrétisés par 10 jours de shooting photos. Créer une marque, c’est imaginer en amont, assembler, rencontrer. Pour cette ligne de linge de maison haut de gamme, tout était prévu pour coller à la philosophie de départ, celle qui se retrouve dans les mots « Intemporalité, Curiosité, Elégance ».
But to show a brand, is to lift the veil gradually, just as a seductive woman could do it…through pictures, photographs, flashes of the universe, Bandit Queen began to dispel the shroud of mystery. But to do so, we needed ten days of photo shooting, 10 days to translate the feminine stamp which punctuates the brand, this presence which we feel but barely see. 10 day to put to work a photographic eye, stylistic talent and loads of creativity. To meet this challenge, I at first took the help of Isabelle Dupuy Chavanat, stylist, passionate about the image and set design, capable of creating fiction around all new collections of Bandit Queen. Together, they looked for someone who could not freeze this universe but make it come alive through image, make it palpable, real.
Mais faire découvrir une marque, c’est lever le voile petit à petit, comme une femme séductrice pourrait le faire… Par le biais d’images, de photographies, d’éclats d’univers, Bandit Queen a commencé à dissiper la brume de mystère. Mais pour se faire, 10 jours de shooting photos ont été nécessaires. 10 jours pour traduire l’empreinte féminine qui jalonne la marque, cette présence que l’on sent mais que l’on voit peu. 10 jours pour mettre au travail un œil photographique, des dons de stylisme et une foule de créativité. Pour réaliser ce défi, je me suis d’abord entourée d’Isabelle Dupuy Chavanat, une styliste, une passionnée de l’image et de la mise en scène capable de créer une fiction autour des collections toutes neuves de Bandit Queen. Ensemble, elles ont cherché la personne capable non pas de figer cet univers mais de le faire vivre via l’image, le rendre palpable, réel.
It was Vincent N’Huyen, a photographer of the newspaper Libération and his work in Korea that aroused a desire to share this project.
Good meetings were held, directive lines given … The first sketches reached I quite fast. Bingo. The stage was set on paper… One month of preparation thus began to print it on glazed paper. Where? Obviously in India, the cradle of the brand. A whole team looked for places, lighting, accessories, animals which helped to give life to ideas. 10 days of shooting in all sealed the collaboration and above all enabled Bandit Queen to take its first steps in a quality market.
C’est Vincent N’Huyen, photographe au journal Libération et son travail en Corée qui ont éveillé l’envie de partager ce projet.
Les bonnes rencontres étaient faites, les lignes directrices transmises… Les premiers croquis n’ont pas tardé à arriver dans mes mains. Bingo. La mise en scène était déjà là sur papier… Un mois de préparation a alors débuté pour l’imprimer sur papier glacé. Où ? En Inde évidemment, berceau de la marque. Toutes les volontés ont cherché les lieux, les éclairages, les accessoires, les animaux qui ont aidé à donner vie aux idées. 10 jours de shooting en tout ont scellé la collaboration et ont surtout permis à Bandit Queen d’effectuer ses tout premiers pas sur le marché de la qualité.